Biography



Born in 1984, Fransix Tenda Lomba is a visual artist; he lives and works in Kinshasa. He is associate artist to Kin Art Studio structure (KAS), a creative project based in Kinshasa and directed by Vitshois Mwilambwe. After graduated at the Academy of Fine Arts in Kinshasa (bachelor degree +3), he participated in various workshops, residencies, exhibitions in Africa and Europe. His practice includes painting, drawing, installation, sculpture and video. He is interested in used manufactured products collected around the world (cans, boxes, cartons and other), as a way of expression. Since 2011, his work focuses on aluminium used objects, exploring the blurred lines between private and public spaces, as well as daily relationships of individuals with surrounding materials. He paints faces and other forms on the boxes that he has first distorted and hammered. The process reflects neuroses and perplexities born out of urban chaos and daily difficulties. Named Mwelas (handicapped in lingala), these works express human vulnerability and interdependancy, as well as people’s challenges encountered in the construction of their own life and dreams.



Né en 1984, Fransix Tenda Lomba est un artiste visuel; il vit et travaille à Kinshasa. Il est artiste associé à la structure Kin Art Studio (KAS), un projet de création basé à Kinshasa et dirigé par Vitshois Mwilambwe. Après diplômé de l'Académie des Beaux-Arts de Kinshasa (diplôme de baccalauréat +3), il a participé à différents ateliers, des résidences, des expositions en Afrique et en Europe. Sa pratique comprend la peinture, le dessin, l'installation, la sculpture et la vidéo. Il est intéressé par les produits manufacturés utilisés collectés dans le monde entier (boîtes, cartons et autres), comme un moyen d'expression. Depuis 2011, son travail se concentre sur des objets en aluminium utilisé, en explorant les lignes floues entre espaces privés et publics, ainsi que les relations quotidiennes des individus avec des matériaux environnants. Il peint des visages et d'autres formes sur les boîtes qu'il a d'abord déformées et martelés. Le processus reflète les névroses et les perplexités nées hors du chaos urbain et les difficultés quotidiennes. Nommés «Mwela » (handicapés en lingala), ces œuvres expriment la vulnérabilité humaine et l’interdépendance, ainsi que les défis des personnes rencontrées dans la construction de leur propre vie et les rêves.

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